
Gauguin, un goût barbare Jean-Denis Bonan
Le choc entre les cultures européennes, dites « civilisées », et polynésiennes, dites « primitives » et les motifs qui ont entraîné et l’homme et l’œuvre vers ce que le peintre a nommé « le luxe barbare ».
ImageNed Burgess
SonOlivier Schwob
MontageRenée Richard
Producteur déléguéFrançoise Gazio, SOLERA & Cie
en coproduction avecRFO, Carré Noir, RTBF Liège, Les Films de la Passerelle, Le Musée d'Orsay & La Réunion des Musées Nationaux
avec la participation deFrance Supervision, CFI
avec le soutien deCentre National de la Cinématographie PROCIREP, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Culture, Gouvernement Territorial de Polynésie
Documentaire- super 16 mm - 52' - couleur - Beta numérique 4/3 et 16/9 - stereo
Sur ses panneaux et ses toiles, il empile des notes intimes, des récits de rêves, des lettres d’amour, ses souvenirs et aussi des références aux mouvements du monde : guerres ou découvertes, espoirs ou chaos, confiance ou inquiétude. Ces tableaux de gouache, d'huile, d'encre, de tissu et de sable se présentent comme une succession de traces, de strates multiples qui se recouvrent les unes les autres. Des textes griffonnés du fond de l'âme et qui laissent sourdre des portraits où court encore l'enfance.
Jusqu'en 2004, sa peinture reste cachée, invisible pour le public.
Il a rejoint la Galerie Vendôme en 2006.
14/12/1997 51' France 3
10H42 PAYS BAS